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Justyna Swat, Yolaine Champigneulle, Olivier Dailly et d'autres participent à ce challenge
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Justyna Swat, Yolaine Champigneulle, Olivier Dailly et d'autres participent à ce challenge
Défi 1 # Alimentation & forêts
ATLAS vise à concevoir un centre de ressources numérique pour les tiers-lieux nourriciers ruraux et périurbains, en embarquant citoyens et collectivités afin d'encourager les synergies et l'innovation pour des territoires alimentaires durables.
Roxanne Wilhelm-jammes
Accompagnement territorial, conseil, expertise, cheffe de projet culturel et patrimonial
Tourisme durable , Numérique
Marketing / Communication
Hugo Juillard
FAB'LIM s’implique dans des projets de recherche participative en territoires méditerranéens, en faveur d'une agriculture de territoire résiliente, d'une plus grande démocratie alimentaire et coopération entre les acteurs des filières de proximité.
Juliette Peres
FAB’LIM est une association. Objet : faire émerger, porter et participer à des projets de recherche action participative en territoires méditerranéens français et en coopération transnationale, en lien avec les transitions agroécologique et alimentaire.
Eugénie Michardiere
La Région porte le projet ATLAS - Accompagnement des Tiers-Lieux Agroalimentaires de l'espace Sudoe - avec un consortium de partenaires français, espagnols et portugais, pour mieux comprendre et soutenir les tiers-lieux nourriciers
Mélissa Gentile
Tête de réseau régional des espaces de travail partagés. Organisme de formations liées au changement des pratiques socio-professionnelles des personnes, des organisations et de leur territoire. Labo d’innovation sociale : penser l’avenir des tiers-lieux.
réseau régional des tiers-lieux, conseil et accompagnement sur les nouvelles organisations du travail - coopérations territoriales
Moins de 50
Dominique Desclaux
INRAE = Institut National de la recherche pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement
Alexandre Ould-yahoui
Tiers Lieu nourricier interface entre la société civile et la filière Agro pour le développement de l'agroecologie en Haute Gironde
Marc-Antoine Deprat
L’Eschalou vise au développement créatif, socio-économique et environnemental de la vallée de l’Echelle dans une logique de valorisation des patrimoines.
Margaux Bounine
Nous sommes les Happy Cultors, un collectif implanté en Dordogne depuis 2017. On porte une vision forte : relier agriculture, écologie et pédagogie ; que l’on applique au quotidien sur notre tiers-lieu nourricier.
Résumé
ATLAS vise à concevoir un centre de ressources numérique pour les tiers-lieux nourriciers ruraux et périurbains, en embarquant citoyens et collectivités afin d'encourager les synergies et l'innovation pour des territoires alimentaires durables.
Nom du commun :
ATLAS
Description du commun en 1 phrase
Un centre de ressources numérique collaboratif (YesWiki) pour aider les tiers-lieux nourriciers à consolider leur maillage comprenant : cartographie participative, réseau de démonstration des transitions, portraits d’innovations territoriales… (CC-BY-SA).
Site web (si existant) :
Pas encore, à venir.
Organisations utilisatrices ou intéressées pour utiliser la ressource :
Les tiers-lieux nourriciers, les institutions porteuses de projets alimentaires teritoriaux et leurs élus, les structures de développement agricole et local, les réseaux et incubateurs de l'économie sociale et solidaire, les collectivités, les chercheurs.
Le commun contribue à :
Décrire le problème que le commun cherche à résoudre (qui rencontre ce problème ? où ? pourquoi est-ce un problème critique pour la transition écologique ?)
Les tiers-lieux nourriciers mobilisent des acteurs hétéroclites autour d’activités de production agroécologique et d’alimentation durable, dans une perspective d'autonomie et de sobriété. En plus de renforcer les liens sociaux et le pouvoir d’agir des citoyens face aux enjeux alimentaires locaux, ils expérimentent de nouvelles formes de coopération pour influer positivement sur le système alimentaire territorial. Après une forte dynamique d’émergence, il apparaît désormais prioritaire de consolider les initiatives en place et de pérenniser leur maillage. Pour y parvenir, nous avons identifié un besoin de : - mise en commun des expériences et des pratiques durables entre initiatives existantes - reconnaissance institutionnelle des tiers-lieux nourriciers dans les politiques alimentaires territoriales - outillage des accompagnateurs (acteurs du développement, incubateurs…) pour adapter les dispositifs aux enjeux - coopération avec les acteurs locaux de l’agriculture et de l'alimentation
Quels sont les utilisateurs directs de ce commun ?
Les tiers-lieux nourriciers, les institutions porteuses de projets alimentaires teritoriaux et leurs élus, les structures de développement agricole et local, les réseaux et incubateurs de l'économie sociale et solidaire, les collectivités, les chercheurs.
Cochez-la ou les catégorie(s) cible(s) correspondante(s) :
Le commun se matérialise sous la forme de :
Candidat au relevé :
20 juin 2025
Localisation du projet de commun
France, en coopération avec des homologues en Espagne et au Portugal.
Besoins pour développer ce commun :
Nous disposons de compétences internes pour la création et la gestion d'une page YesWiki et nous pourrons solliciter la communauté YesWiki pour les fonctionnalités avancées. Pour la cartographie participative et les portraits d’innovations, nous aurons besoin de compétences en design et d’échanger activement avec les tiers-lieux pour cerner leurs besoins en informations et adapter, en conséquence, les formulaires de collecte et de partage d’expérience, mais aussi de mobiliser tous nos relais de diffusion pour l’appel à recensement (ex. : le groupe « nourriciers » national). Pour actualiser la typologie des initiatives, il faudra intensifier la démarche de collecte de données initiée en 2020 et trouver un format d’actualisation simple. La constitution du recueil de dispositions règlementaires supposera de poursuivre nos synergies avec l’ANTL et France Tiers-Lieux. Le design, la collecte, le partage d’informations et l’animation de la communauté demanderont d’importants moyens humains.
Niveau de maturité du commun sur l'axe de la ressource :
ressource disponible mais non validée
Niveau de maturité du commun sur l'axe de la communauté :
intermédiaire
Niveau de maturité du commun sur l'axe de la gouvernance :
intermédiaire
Organisation(s) qui porte(nt) le commun :
FAB'LIM, Coop Tiers-Lieux, en partenariat avec la Région Nouvelle-Aquitaine.
Cocher la ou les catégories qui correspondent :
Présentation de l’activité de(s) organisation(s) porteuse(s):
FAB'LIM construit et porte des projets de recherche participative sur les transitions agroécologiques et alimentaires. La Coop Tiers-lieux coordonne le réseau des tiers-lieux néo-aquitains, encourage les échanges entre pairs et la diffusion des pratiques.
Préciser le(s) statut(s) juridique(s) :
Association, coopérative, en partenariat avec une collectivité.
Nombre de salariés de(s) structure(s) :
4 / 11
Partenaire(s) de(s) structure(s) (notamment hors cadre du commun) :
ANTL, Fance Tiers-Lieux, DRAAF Occitanie, INRAE Montpellier, GIP Pays et Quartiers de N-A, CNRS - UMR Passages, CISQA, Terres en Villes
Nom et Prénom du référent (e) du commun et poste tenu dans sa structure :
Peres Juliette, responsable développement - FAB'LIM.
Equipe :
Gestion de projets multi-acteurs en lien avec l'agroécologie et l'aimentation durable, animation de réseaux de tiers-lieux, création de commun (AAC 2021 : FILECO), design, création et gestion de sites YesWiki (ex. : nourriciers.tierslieux.net), formation.
Calendrier :
Non réponduPlan d’action et méthodologie du projet :
1. Recherche utilisateurs, via des ateliers avec nos divers publics cibles ; recueil des expertises et besoins en informations/échanges pour booster leur impact ; identification des fonctionnalités du YesWiki à créer et des solutions pour actualiser les données ; consolidation du cahier des charges avec la communauté et nos partenaires européens. 2. Création et gestion du YesWiki selon les orientations définies, incluant : cartographie, espace de ressource, agenda, tutoriels, à incrémenter au fil du projet. 3. Mobilisation de nos relais et animation communautaire pour stimuler la documentation collaborative. 4. Élaboration de portraits d’innovations à partir des données collectées sur le site et par entretien ; actualisation de la typologie de 2020 après intégration des retours de nos partenaires européens. 5. Allers-retours avec l’ANTL, France Tiers-Lieux et nos partenaires associés, pour recueillir les politiques alimentation / ESS / développement rural favorables aux initiatives.
Montant global prévisionnel du projet de commun, en euros HT :
120 000 €
Montant de l'aide prévisionnelle demandée à l'AAC, en euros HT :
30 000 €
Stratégie de cofinancement :
75% de fonds FEDER déjà obtenus avec autorisation de monter à 100% de financement public pour FAB'LIM et 80% pour la Coop Tiers-Lieux.
Partenaires financiers :
Aide acquise : 75% fonds FEDER (programme Interreg SUDOE).
Pistes de financement post-appel à communs :
Nous bénéficions du soutien du FEDER jusqu'à décembre 2026. Ensuite, la maintenance des communs et l'animation de la communauté resteront assurés dans le cadre des missions courantes de FAB'LIM et de la Coop Tiers-Lieux, en lien avec l'agroécologie et l'alimentation durable et les tiers-lieux nourriciers. Le centre de ressources YesWiki, notamment, sera hébergé dans un sous-domaine du site de FAB'LIM ou de la Coop Tiers-Lieux de sorte à garantir sa pérennité.
Jusqu’à présent, comment les personnes et organisations confrontées au problème décrit font pour le contourner et en quoi ces solutions ne sont-elles pas satisfaisantes ?
Les innovations portées par les tiers-lieux nourriciers en matière d’agroécologie et d’alimentation durable sont réelles mais insuffisamment valorisées et reconnues. En effet, leur modèle socio-économique ne leur permet pas de dédier le temps suffisant au transfert des connaissances issues de l’expérience. Les connexions assurées par les réseaux régionaux et l’ANTL permettent d’opérer des mises en relation interpersonnelles, mais l’enjeu d’appui à la montée en compétences collective reste réel, de même que l’amélioration du dialogue avec les pouvoirs publics, dans un contexte où nombre de collectivités méconnaissent leur action et les voies de coopération possibles. Sans cadre de documentation harmonisé et sans espace de valorisation commun, l’essaimage des innovations et l’ouverture aux tiers-lieux des politiques en matière d’agriculture et d’alimentation prennent du temps et ralentissent la multiplication des innovations (espace test agricole, épicerie solidaire, halle low-tech…).
Comment évaluer la résolution du problème visé par le commun avec les données disponibles à court, moyen et long terme ? Inclure les actions nécessaires pour l’évaluation du commun dans la conception du projet (récolte de données, analyses…)
Nous évaluerons, tout d’abord, le nombre de tiers-lieux nourriciers référencés sur notre cartographie participative transnationale et volontaires pour faire partie de notre réseau de sites de démonstration et partager leurs innovations en matière d’alimentation durable et de partenariat public-privé. Nous évaluerons, ensuite, le nombre de connexions entre initiatives grâce à un système d’enquête qui sera automatisé tous les trimestres et corrélé à une demande d’actualisation des données des utilisateurs. Un élément de mesure sera aussi la dynamique d’échanges et la nature de leur contenu, sur le fil de discussion Framaliste de la communauté des initiatives. Nous évaluerons, en parallèle, le niveau de participation des représentants de politiques publiques dans nos ateliers de dissémination et de concertation sur les innovations partenariales et cadres de soutien favorables à l’action des tiers-lieux. Enfin, nous mesurerons l’usage de nos outils didactiques par profil d’usager.
Quel(s) type(s) de vulnérabilité du territoire sont traitée(s) :
Comment le commun contribue-t-il à la résilience :
Justifier votre choix à la question précédente :
Le commun vise à soutenir l’action des tiers-lieux qui mobilisent des acteurs hétéroclites autour d’activités de production agroécologique et d’alimentation durable. Les processus d’innovation sociale que facilitent ces tiers-lieux permettent de concevoir des réponses nouvelles aux problématiques de leur territoire, en associant à la fois leur communauté, mais aussi d’autres acteurs du système alimentaire local (ex. : conception d’outils low-tech pour respecter les sols, test agricole, lutte contre la précarité alimentaire, inclusion et création de lien social, mutualisation d’outils de transformation avec les agriculteurs locaux…). En valorisant l’apprentissage par le faire et les processus participatifs multi-acteurs, ils renforcent l’autonomie et le pouvoir d’agir des personnes, les coopérations et la concertation pour renforcer la gouvernance alimentaire territoriale.
Méthode d’évaluation des bénéfices du commun sur la résilience des territoires (indicateurs, méthode de collecte et de traitement des données) :
Nous évaluerons les bénéfices du commun sur la résilience des territoires par entretien, en regardant tout particulièrement en quoi la mutualisation des expériences en matière d’agroécologie et d’alimentation durable, ainsi que les connexions facilitées entre initiatives ont contribué à inspirer et faire grandir de nouvelles solutions collectives face aux enjeux alimentaires territoriaux. Nous regarderons également en quoi nos efforts de dissémination et de concertation avec les représentants de politiques publiques ont permis de faire adopter plus largement certaines innovations partenariales et dispositifs d’intervention en faveur des tiers-lieux nourriciers.
Sur quel(s) type(s) de sobriété le commun agit-il :
Quel(s) levier(s) d’actions employés par le commun :
Justifier votre choix à la question précédente :
Le commun vise à soutenir l’action des tiers-lieux qui développent des activités de production agroécologique et d’alimentation durable dans un objectif de sobriété (ex. : réduction des intrants agricoles, préservation de la ressource en eau, conception d’outils low-tech dans une logique de down-sizing, mutualisation de matériel, transformation douce des produits, lutte contre le gaspillage alimentaire, réemploi de contenants, valorisation des co-produits issus des processus de production et de transformation dans des boucles circulaires et solidaires, mutualisation des déplacements…). En mettant en exergue les innovations agroécologiques des tiers-lieux nourriciers et leurs facteurs clés de succès, en vue d’une adoption et d’une généralisation à plus large échelle, notre commun vise un impact positif sur la sobriété des territoires.
Méthode d’évaluation des bénéfices du commun sur la sobriété des territoires (indicateurs, méthode de collecte et de traitement des données) :
Nous évaluerons les bénéfices du commun sur la sobriété des territoires par entretien, en regardant tout particulièrement en quoi la mutualisation des expériences en matière d’agroécologie et d’alimentation durable, ainsi que les connexions facilitées entre initiatives ont contribué à inspirer et faire grandir de nouvelles solutions collectives face aux enjeux alimentaires territoriaux. Nous tâcherons de qualifier les impacts positifs obtenus par les tiers-lieux ayant adopté certaines des solutions mises en exergue, mais aussi de lister les effets d’échelle les plus aptes à démultiplier les retombées favorables pour les territoires.
Le commun prend-t-il en compte les besoins, voire associe-t-il, les publics vulnérables et si oui le(s)quel(s) (seniors, enfants, personnes à mobilité réduite, minorités de genre, population précaire, etc..) et de quelle façon ?
Non réponduVotre commun est-il susceptible de changer les comportements d’acteurs ou d’individus ?
Non réponduMéthode d’évaluation de l’impact social (indicateurs, collecte, traitement des données) du commun :
Non réponduDécrire les externalités négatives possibles du commun et les pistes pour y remédier.
Le principal impact provient de l'énergie consommée pour l'entretien des serveurs de données de notre centre de ressources.
S’il existe, ajoutez un lien vers l’espace de documentation ou la gare d’aiguillage de la communauté du commun :
Pas encore, à venir (cela fait partie du projet, cf. plan d'action et méthodologie).
Comment un nouveau membre de la communauté peut-il contribuer au projet ? Il y a-t-il un processus d’accueil ?
Selon la date de son incorporation à la communauté, un nouveau tiers-lieu nourricier peut contribuer au commun : i) en participant aux ateliers de conception du centre de ressources YesWiki, ii) en se référençant sur la cartographie des initiatives à partir du formulaire de collecte de données, iii) en nous indiquant s’il souhaite faire partie du réseau de sites de démonstration (pour les initiatives les plus matures), iv) en participant à la documentation d'une innovation en matière d’alimentation durable et de partenariat public-privé, iv) en rejoignant notre fil de discussion Framaliste. Un nouveau représentant de politique alimentaire / ESS / développement rural peut contribuer en participant à nos ateliers de concertation sur les innovations partenariales et cadres de soutien favorables à l’action des tiers-lieux. Enfin, tout acteur peut contribuer au comité éditorial de nos publications et à la construction des outils didactiques prévus en soutien à la dissémination des contenus.
Décrivez la genèse de la communauté (sous quelle impulsion, depuis quand… ?)
La communauté d’adhésion n’est pas née spécifiquement autour de la conception du commun. Elle est antérieure, mais va, à présent, grandir avec lui. Elle résulte des réflexions menées par FAB’LIM, La Coop Tiers-Lieux et France tiers-Lieux en réaction à l’engouement suscité par la publication en 2020 de la brochure "Les tiers-lieux nourriciers engagés dans la transition agroécologique et alimentaire". Face à la multiplication des sollicitations, nous avons amorcé la structuration d’une dynamique de réseau, marquée par plusieurs temps forts. A mesure de nos échanges avec les membres et l’ANTL, le besoin de disposer d’une boîte à outils centralisant les connaissances et expériences s’est fait sentir pour inspirer les porteurs de projets et tiers-lieux en place, les réseaux régionaux et structures d’appui à l’innovation sociale, ainsi que les acteurs des politiques publiques et du développement territorial. Cette perspective a constitué l'un des fils rouges du groupe "nourriciers" national.
Préciser le nombre de contributeurs actifs et le nombre d’utilisateurs :
Estimation des utilisateurs : environ 300 car d'après le recensement 2023, 10% des 3 500 tiers-lieux se définissent comme "nourriciers" et 16% ont des partenariats avec des acteurs de l'agriculture et de l'alimentation. Contributeurs actifs : environ 30.
Il y a-t-il des moyens mis en œuvre pour animer la communauté et si oui lesquels ?
Le financement FEDER 2025-2028 obtenu par FAB’LIM, La Coop Tiers-Lieux et la Région Nouvelle-Aquitaine pour le projet SUDOE ATLAS, couplé aux recherches de cofinancement en cours, permettra de consolider l’animation du centre de ressources YesWiki et de sa communauté pendant une durée de 3 ans. Un temps conséquent d’animation sera dédié par ces trois entités pour le déploiement et l’amplification du commun, avec un périmètre de recueil d’expériences et de mise en réseau national, et un périmètre d’animation et d’expérimentation plus poussé au sein de l’espace de coopération SUDOE, ce qui amènera une ouverture européenne et une potentiel élargi en termes d’échanges.
La communauté est-elle en croissance, stabilisation ou décroissance ? Si volonté de croissance, quel est le plan de développement de la communauté ?
Non réponduIl y a-t-il des communs proches et/ou des coopérations avec les communautés de ces derniers ? Si oui, nommez-les et décrivez l’état des tentatives de connexion.
Non réponduQuelles sont les licences choisies pour protéger le commun dans ces différentes formes (logiciel, connaissance ou données) ?
Licence CC-BY-SA pour protéger les contenus du centre de ressources YesWiki.
Le commun a t-il une structure juridique propre ?
Non, pas pour l'instant.
Décrire la gouvernance du commun :
Non réponduComment se manifeste la transparence de l’organisation ?
Non réponduQuelle est la stratégie pour la viabilité économique du commun ?
Non réponduLe commun a-t-il une économie de service dérivée qui amène des financements ?
Non réponduAvez-vous pensé à un mode de répartition de la valeur auprès des contributeurs impliqués dans la vie du commun ?
Non réponduAu vu des réponses aux précédentes rubriques, résumez l’état d’avancement du commun sur les différents axes et précisez ses principaux enjeux et points de vigilance pour son bon développement.
Non réponduRéalisation du projet de commun
Non répondu
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