Appel à communs Mobiliser les communs pour la Transition écologique

Résumé

Réduire la vacance locative dans les centres-villes et quartiers prioritaires en mobilisant les logements privés vacants pour les transformer en logements accessibles, en s’appuyant sur les outils numériques et des données ouvertes.

Nom du commun :

Lutte contre le gaspillage immobilier en identifiant plus facilement les logements vacants et en permettant leur accès à des publics qui ont des difficultés à trouver des logements

Description du commun en 1 phrase

Le commun vise à unir les expertises immobilières de différents acteurs afin de lutter ensemble contre la vacance dans le parc privé tout en facilitant l'accès à ce dit parc à des populations qui en sont souvent exclues.

Site web (si existant) :

Organisations utilisatrices ou intéressées pour utiliser la ressource :

Gestia Solidaire, entreprises agréée ESUS, est une entreprise immobilière à impact, et l'ACLEF, association de lutte contre la précarité étudiante par l'accès au logement, souhaitent unir leurs connaissances pour se mobiliser ensemble sur ce sujet.

Le commun contribue à :

• La résilience
• La sobriété

Décrire le problème que le commun cherche à résoudre (qui rencontre ce problème ? où ? pourquoi est-ce un problème critique pour la transition écologique ?)

Tous les territoires français sont concernés par la problématique de la vacance immobilière, qui entraine de nombreux autres enjeux, notamment : la dégradation du bâti, le manque d'offre locative, l'étalement urbain. La lutte contre la vacance est une réponse multi-sectorielle, qui répond du même coup à une problématique sociale (réponse au besoin en logement) et à une problématique environnementale (va dans le sens de la sobriété foncière, et donc de la loi ZAN).

Quels sont les utilisateurs directs de ce commun ?

Les utilisateurs directs sont les agences immobilières à vocation sociale et les associations du droit au logement. Leur rôle sera d'accompagner les propriétaires à remettre sur le marché leur logement vacant.

Cochez-la ou les catégorie(s) cible(s) correspondante(s) :

• entreprises
• associations

Le commun se matérialise sous la forme de :

• plateforme & site web
• données
• cartographie
• méthodes, guides & outils

Candidat au relevé :

30 septembre 2025

Localisation du projet de commun

La première expérimentation de ce commun se fera sur la métropole de Lyon.

Besoins pour développer ce commun :

Les besoins pour développer ce commun sont divers : -besoins de diffusion : l'idée est que ce commun soit ouvert à un maximum d'acteurs intéressés par cette problématique (associations, entreprises ESUS, collectivités, politiques...). De plus, de nombreuses initiatives (publiques, privées, associatives...) existent déjà, et il parait essentiel de mutualiser les connaissances et les compétences à ce sujet pour construire un commun efficace et pertinent. -besoin d'accompagnement à la "montée en compétence" : après avoir fait un état des lieux exhaustifs des démarches existantes allant dans ce sens, il faudrait faire un état des lieux juridiques (les textes de lois à ce sujet, les propositions de lois en cours...) et numériques (Lovac, Zéro Logement Vacant...) afin de peaufiner la maitrise de ce sujet -besoin d'aide financière et technique au développement de cet outil numérique : accompagnement au montage de l'outil

Niveau de maturité du commun sur l'axe de la ressource :

idée

Niveau de maturité du commun sur l'axe de la communauté :

embryonnaire

Niveau de maturité du commun sur l'axe de la gouvernance :

embryonnaire

Organisation(s) qui porte(nt) le commun :

Gestia Solidaire et l'ACLEF (ouvertes à toutes initiatives qui voudraient rejoindre le commun)

Cocher la ou les catégories qui correspondent :

• entreprise
• association

Présentation de l’activité de(s) organisation(s) porteuse(s):

L'ACLEF est une association qui favorise l'accès des étudiant·es à des logements dignes et abordables par un système d'intérmédiation locative. Gestia Solidaire oeuvre pour rendre le logement accessible à 8 millions de personnes solvables mais invisibles

Préciser le(s) statut(s) juridique(s) :

L'ACLEF est une association loi 1901 et Gestia Solidaire est une SAS agréée ESUS

Nombre de salariés de(s) structure(s) :

L'ACLEF comporte 10 salariés. Et Gestia Solidaire a 7 salariés en ETP et 9 avec des stagiaires sur des projets temporaires.

Partenaire(s) de(s) structure(s) (notamment hors cadre du commun) :

L'ACLEF a entrepris des partenariats avec : 15 bailleurs sociaux (à Paris, Bordeaux et Lyon), des collectivités, des associations, des particuliers

Nom et Prénom du référent (e) du commun et poste tenu dans sa structure :

Emilia Imadache, reponsable du développement de l'ACLEF et Anne-Sophie Thomas, Fondatrice et Présidente de Gestia Solidaire

Equipe :

Calendrier :

Plan d’action et méthodologie du projet :

Montant global prévisionnel du projet de commun, en euros :

Montant de l'aide prévisionnelle demandée à l'AAC, en euros :

Stratégie de cofinancement :

Partenaires financiers :

Pistes de financement post-appel à communs :

Jusqu’à présent, comment les personnes et organisations confrontées au problème décrit font pour le contourner et en quoi ces solutions ne sont-elles pas satisfaisantes ?

Comment évaluer la résolution du problème visé par le commun avec les données disponibles à court, moyen et long terme ? Inclure les actions nécessaires pour l’évaluation du commun dans la conception du projet (récolte de données, analyses…)

Quel(s) type(s) de vulnérabilité du territoire sont traitée(s) :

Comment le commun contribue-t-il à la résilience :

3. Actions en matière de gouvernance et d’organisation (construction avec les acteurs du territoire, partenariats, mutualisation d’initiatives, processus d’apprentissage, améliorer les processus et faire des retours d’expérience à postériori etc.)

Justifier votre choix à la question précédente :

Méthode d’évaluation des bénéfices du commun sur la résilience des territoires (indicateurs, méthode de collecte et de traitement des données) :

Sur quel(s) type(s) de sobriété le commun agit-il :

• 1. Sobriété dans l’utilisation des ressources : utiliser le moins de ressource possible pour satisfaire un besoin
• 4. Sobriété organisationnelle : repenser nos modes d’organisation afin d’adopter de nouvelles façons de se déplacer, de travailler, d’habiter, de consommer, qui soient moins énergivores
• 5. Sobriété collaborative : créer du lien social à travers des activités favorisant le réemploi, le partage et l’échange

Quel(s) levier(s) d’actions employés par le commun :

• 3. Mieux dimensionner les biens et services à ses besoins
• 5. Repenser son rapport au temps

Justifier votre choix à la question précédente :

Méthode d’évaluation des bénéfices du commun sur la sobriété des territoires (indicateurs, méthode de collecte et de traitement des données) :

Le commun prend-t-il en compte les besoins, voire associe-t-il, les publics vulnérables et si oui le(s)quel(s) (seniors, enfants, personnes à mobilité réduite, minorités de genre, population précaire, etc..) et de quelle façon ?

Votre commun est-il susceptible de changer les comportements d’acteurs ou d’individus ?

Méthode d’évaluation de l’impact social (indicateurs, collecte, traitement des données) du commun :

Décrire les externalités négatives possibles du commun et les pistes pour y remédier.

S’il existe, ajoutez un lien vers l’espace de documentation ou la gare d’aiguillage de la communauté du commun :

Comment un nouveau membre de la communauté peut-il contribuer au projet ? Il y a-t-il un processus d’accueil ?

Décrivez la genèse de la communauté (sous quelle impulsion, depuis quand… ?)

Préciser le nombre de contributeurs actifs et le nombre d’utilisateurs :

Il y a-t-il des moyens mis en œuvre pour animer la communauté et si oui lesquels ?

La communauté est-elle en croissance, stabilisation ou décroissance ? Si volonté de croissance, quel est le plan de développement de la communauté ?

Il y a-t-il des communs proches et/ou des coopérations avec les communautés de ces derniers ? Si oui, nommez-les et décrivez l’état des tentatives de connexion.

Quelles sont les licences choisies pour protéger le commun dans ces différentes formes (logiciel, connaissance ou données) ?

Le commun a t-il une structure juridique propre ?

Décrire la gouvernance du commun :

Comment se manifeste la transparence de l’organisation ?

Quelle est la stratégie pour la viabilité économique du commun ?

Le commun a-t-il une économie de service dérivée qui amène des financements ?

Avez-vous pensé à un mode de répartition de la valeur auprès des contributeurs impliqués dans la vie du commun ?

Au vu des réponses aux précédentes rubriques, résumez l’état d’avancement du commun sur les différents axes et précisez ses principaux enjeux et points de vigilance pour son bon développement.

Réalisation du projet de commun