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Justyna Swat, Yolaine Champigneulle, Olivier Dailly et d'autres participent à ce challenge
Participez plusieurs fois !
Équipes
1 à 50 personnes
Justyna Swat, Yolaine Champigneulle, Olivier Dailly et d'autres participent à ce challenge
Faire de « D-cartes » un « commun » : - Composé d’une base de données d'itinéraires pédestres et d’aménagements facilitants la mobilité et l'accessibilité - Créé et géré collectivement par une communauté de publics « invisibles » dans l'espace public.
Yolaine Champigneulle
ADAL intervient dans le champ de la prévention/santé depuis plus de 30 ans. Notre objectif est de créer les conditions favorables pour des changements de comportement durables.
Olivier Dailly
Le programme D-marche est une invitation à augmenter durablement notre quantité de pas quotidienne (wwwd-marche.fr). Outre l'impact en terme de santé individuelle, la D-marche est au service de projets de territoire soucieux des mobilités actives/douces.
Maël Bordas
Outil numérique pour comprendre les enjeux de mobilité durable d'un territoire
Commerce, transports, hébergement et restauration
Moins de 50
Jean paul Deremble
développer, par les activités physiques, une autonomie communautaire
Bac+8 (Doctorat, habilitation à diriger des recherches)
Je souhaite participer au Challenge et rejoindre mon équipe
Christine Cardin
En pilotage de la licence Activités Physiques et Santé en STAPS et donc en lien avec des structures concernées par les enjeux de santé publique et de mobilité (notamment les mobilités douces et actives pour tous les publics !)
Tom Dieda
Action sociale
Laure Beyler
J'accompagne et je forme les organisations, les collectifs et les personnes qui les animent pour développer des dynamiques coopératives fertiles et robustes. Intelligence collective - Communs - Robustesse - Animation de réseau - Yeswiki
Activités de services
Moins de 50
Pauline Gignet
« Prendre Plaisir à Prendre Soin de Soi » Amener à une prise de conscience et au charment de comportement dans un objectif de Santé et de bien être à travers le mouvement .
Enseignement, santé, activités sociales
Moins de 50
Maëlla Guigoures
La Maison Sport Santé a pour objectif d'accueillir, d'accompagner et d'orienter toutes les personnes qui souhaitent reprendre ou commencer une activité physique qu'elle soit encadrée ou de manière autonome.
Résumé
Faire de « D-cartes » un « commun » : - Composé d’une base de données d'itinéraires pédestres et d’aménagements facilitants la mobilité et l'accessibilité - Créé et géré collectivement par une communauté de publics « invisibles » dans l'espace public.
Nom du commun :
D-cartes
Description du commun en 1 phrase
D-cartes est une base de données de parcours à pied, agréables et accessibles au plus grand nombre, en ville ou pleine nature, repérées et partagées par une communauté de marcheurs curieux et bienveillants.
Site web (si existant) :
https://ferme.yeswiki.net/dcartes/ (une maquette créer à partir des expérimentations de terrains)
Organisations utilisatrices ou intéressées pour utiliser la ressource :
Collectivités territoriales, CCAS (Centre Communal d’Action Social), associations, services des sports, MSS (Maison Sport Santé), MSP (Maison Santé Pluridisciplinaires), CPTS (Communauté Professionnelle Territoriale de Santé), offices du tourisme…
Le commun contribue à :
Décrire le problème que le commun cherche à résoudre (qui rencontre ce problème ? où ? pourquoi est-ce un problème critique pour la transition écologique ?)
De notre constat, les points suivants sont généralement ignorés ou peu traités dans politiques publiques en faveur d’une mobilité décarbonée : 1)La marche n'est pas considérée comme un mode de transport prioritaire, alors que l'ensemble des trajets avec une composante transport en commun contient une part de marche. 2)Les publics vulnérables sont sous-représentés dans les enquêtes classiques de mobilités. On se base en effet principalement sur les déplacements réalisés sans prendre en compte ceux souhaités. Leurs défis et blocages sont donc peu pris en compte. Par exemple les planificateurs d'itinéraires sont peu pensés pour les PMR. 3)Un tiers de la population déclare se sentir souvent ou de temps en temps exclue ou inutile. C'est particulièrement vrai au sein des publics fragiles. Nous partageons l’idée qu’il n’a pas d’écologie sans justice sociale. Au travers de ce commun, nous croyons à la puissance du collectif, à ces liens qui transforment nos lieux de vies et ses habitant.
Quels sont les utilisateurs directs de ce commun ?
D-cartes vise à donner une voix aux personnes les moins visibles (inclusivité/accessibilité). La démarche participative générale dépasse aussi ces cas précis, le sentiment de reconnaissance sociale n'étant pas limité à certains profils de fragilité.
Cochez-la ou les catégorie(s) cible(s) correspondante(s) :
Le commun se matérialise sous la forme de :
Candidat au relevé :
20 juin 2025
Localisation du projet de commun
Le commun D-cartes s’appuie sur la communauté D-marche déjà existante. La constitution de groupe, se fera donc en priorité dans les régions où sont présent ses intervenants : Bretagne, Grand-Est, Ile-de-France, Occitanie, Rhône-Alpes, Pays de la Loire.
Besoins pour développer ce commun :
Cet appel à projet est l’opportunité d’un changement d’échelle pour le commun D-cartes. Le soutien permettrait : - Construire un « commun numérique » inclusif (simplicité de contribution, facilité de traitement de contributions, interface avec l’existant) ; - Essaimer des programmes d’accompagnement D-cartes sur l’ensemble du territoire afin de faire grandir la communauté ; - Nourrir l’écosystème avec des parties prenantes qui partage des enjeux communs ; - Animer la communauté et structurer la gouvernance.
Niveau de maturité du commun sur l'axe de la ressource :
ressource disponible mais non validée
Niveau de maturité du commun sur l'axe de la communauté :
intermédiaire
Niveau de maturité du commun sur l'axe de la gouvernance :
intermédiaire
Organisation(s) qui porte(nt) le commun :
Association A La Découverte de l’Age Libre (ADAL) : https://adal.fr Depuis plus de 30ans, elle développe des actions d’accompagnement et de prévention de santé globale pour tout public afin de favoriser des évolutions de comportements durables.
Cocher la ou les catégories qui correspondent :
association
Présentation de l’activité de(s) organisation(s) porteuse(s):
Depuis 2010, elle accompagne via le programme D-marche https://www.d-marche.fr/, les personnes sédentaires à la pratique de la marche au quotidien dans une logique d’amélioration de la santé globale (reconnu par Santé Public France – 31 000 bénéficiaires)
Préciser le(s) statut(s) juridique(s) :
Association loi 1901 (création en 1992)
Nombre de salariés de(s) structure(s) :
6 salariés (4.4 ETP)
Partenaire(s) de(s) structure(s) (notamment hors cadre du commun) :
Le réseau ADALIEN est tissé en 3 dimensions « Santé », « Retraite », « Sport » : Caisse de retraites, Mutuelles, ARS, MSS… Avec D-marche/D-cartes nous avons intégré une 4ème dimension « Mobilité Durable » et « Commun » via notamment le réseau de la FabMob
Nom et Prénom du référent (e) du commun et poste tenu dans sa structure :
Champigneulle Yolaine : responsable du programme D-cartes au sein de l’ADAL
Equipe :
Expertise en prévention santé, animation de communauté et mobilité douce. Forte d’expérience terrain auprès des publics fragiles, agit pour la sobriété, le lien social et la résilience local, par et pour les citoyens. Suivi par la FabMob pour le commun.
Calendrier :
Non réponduPlan d’action et méthodologie du projet :
Notre plan d’action s’articule autour de 4 axes principaux : 1) Renforcer la communauté : en facilitant l’accueil, la reconnaissance et l’interconnexion entre les différents rôles. 2) Accompagner les contributeurs : via des outils simples et un accompagnement régulier pour que chacun puisse participer à sa manière. 3) Structurer le processus de création de parcours accessibles et de points d’intérêts : de l’exploration à la validation collectives, en passant par le test sur le terrain, grâce à la création d’une plateforme intuitive. 4) Valoriser et faire rayonner le commun : en rendant visible le travail de la communauté et en mobilisant de nouveaux partenaires (citoyens, collectivités, financeurs…) D-cartes repose sur méthodologie collaborative, évolutive et ancrée dans les territoires : chaque étape du projet est construite avec et pour les usagers. Nous adoptons une logique d’expérimentation ouverte, qui nous permet d’ajuster en continu nos outils, nos actions, et notre gouvernance
Montant global prévisionnel du projet de commun, en euros HT :
Non réponduMontant de l'aide prévisionnelle demandée à l'AAC, en euros HT :
Non réponduStratégie de cofinancement :
Notre stratégie de cofinancement repose sur des demandes de financements portées par l’ADAL, ou des structures partenaires, grâce à un thème transversale : la marche au quotidien. L’ADAL a également investie en fond propre.
Partenaires financiers :
Acquis : Ville d’Ecully (4 848€) / Conférences des financeurs Ardèche (4 752€) + Côte d’Armor (4 752€] - En cours d’évaluation : Fondation RATP (40 000€) / Fondation de France (100 000€)
Pistes de financement post-appel à communs :
Proposition à rédiger pour Keolis « D-cartes et mobilité » dans l’objectif d’encourager des publics fragiles à la pratique de la marche et à l’usage des transports collectifs.
Jusqu’à présent, comment les personnes et organisations confrontées au problème décrit font pour le contourner et en quoi ces solutions ne sont-elles pas satisfaisantes ?
Constat : La marche est en retrait par rapport à d’autres modes de déplacement. L’accessibilité à pied des espaces publics font partie des préoccupations des acteurs locaux, les aménagements sont construits en concertations avec des experts de la mobilité mais n’intègre pas encore suffisamment les singularités des usagers concernés par des problématiques de déplacements. Des enquêtes sont menées sur les retours des utilisateurs mais qu’en est-il des souhaits des publics isolées, sédentaires ? Ces personnes qui sortent peu de chez eux et/ou qui se déplacent peu en marchant ? Quels sont leurs souhaits, leurs défis, leur blocage ?
Comment évaluer la résolution du problème visé par le commun avec les données disponibles à court, moyen et long terme ? Inclure les actions nécessaires pour l’évaluation du commun dans la conception du projet (récolte de données, analyses…)
D-cartes : une cartographie des parcours agréables et accessibles à pied. Actions mise en œuvre : Réalisé en parallèle des 3 mois d'accompagnement avec les outils D-marche - Formation aux outils de cartographie participative - Restitution des observations de terrain (création des fiches parcours, alimentation du commun numérique …) - Vérification des données relevées - Bilan et réflexion sur un plan de communication Résultats prévus : - Nb de participants formés aux outils de collaboration (plusieurs niveaux de contribution en fonction de l'affinité technologique) - Nb de parcours proposées, validées et publiées - Nb de ressentis qualitatifs récoltés - Nb de référencements d'équipement pour l'accessibilité - Nb de partages des parcours avec l'écosystème plus large Moyens d’évaluations : - Participation : simple comptage les jours J - Partages, référencements : statistiques sur le site web du commun "D-Cartes" - Ressentis qualitatifs : réponses à questionnaires et verbatims
Quel(s) type(s) de vulnérabilité du territoire sont traitée(s) :
Comment le commun contribue-t-il à la résilience :
Justifier votre choix à la question précédente :
- Analyse et prévention : en cartographiant des itinéraires à pied, accessibles et confortables, la communauté identifie des obstacles, les fragilités urbaines ou rurales, les zones peu accueillantes ou mal desservies, participants à une lecture des vulnérabilités locales (accessibilité PMR) - Transformation concrète : en valorisant les mobilités douces, le lien social et la réappropriation des espaces publics, D-cartes encourage des pratiques adaptées aux enjeux climatiques et sociaux, et transforme la marche en levier d’adaptation durable. - Gouvernance partagée : fondé sur le faire ensemble, D-cartes favorise la coopération entre habitants, associations, institutions et collectivité. Il s’appuie sur des outils communs, des retours d’expérience et des dynamiques apprenantes pour renforcer la capacité collective à anticiper, s’adapter et agir.
Méthode d’évaluation des bénéfices du commun sur la résilience des territoires (indicateurs, méthode de collecte et de traitement des données) :
D-cartes : un partage contextualisé des ressentis des publics s’essayant à la pratique de la marche au quotidien (verbatims) Actions mise en œuvre : - Analyse des retours qualitatifs - Entretiens avec experts locaux pour contextualiser et apporter des propositions de réponse aux défis (aménagements prévus...) – Création d'un tableau de bord numérique présentant les données extraites des parcours, contextualisées sur les territoires – Partage d'une méthode de collecte et restitution des données, réplicable et en accès libre Résultats prévus : - Nb de retours analysés et contextualisés - Nb d'entretiens experts et suggestions - Nb d'échanges avec des représentants territoriaux - Visites sur le tableau de bord - Nb d'initiatives d'essaimage de l'approche Moyens d’évaluations : Création et animation d'une communauté de réutilisateurs potentiels de la méthodologie de récolte. En lien avec les territoires déjà présent autour de D-marche et des expérimentations Accès Libre Mobilité
Sur quel(s) type(s) de sobriété le commun agit-il :
Quel(s) levier(s) d’actions employés par le commun :
Justifier votre choix à la question précédente :
En lien avec la sobriété des territoires, le commun D-cartes vise notamment à : - Accompagner les collectivités dans la mise en place d’aménagements favorisant l’accessibilité ; - Encourager les personnes à pratiquer de la marche et à l’usage des transports collectifs - Créer du lien social et de l’entraide avec les publics fragiles
Méthode d’évaluation des bénéfices du commun sur la sobriété des territoires (indicateurs, méthode de collecte et de traitement des données) :
D-cartes : Des publics fragiles encouragés à la pratique de la marche et à l’usage des transports collectifs. Actions mises en œuvre : - Identification des personnes cibles, en collaboration avec les relais terrain - Séance de formation initiale D-marche, distribution des Kits (podomètre connectable) - Analyse des habitudes, définition des objectifs personnels - Accompagnement collectif pendant 90 jours, avec des points d'étape réguliers - Bilan et évènement de restitution Résultats prévus : - Nb de personnes mobilisées (8 à 15 par groupe) - Nb de participants aux évènements de restitution - Augmentation du nb de pas des participants - Changement de pratiques vis-à-vis des déplacements - Continuité après accompagnement Moyens d’évaluation : - Participation : simple comptage les jours J - Nb de pas : usage de podomètres connectables, mesure avant / après - Changement de pratique : questionnaire et entretiens - Continuité : maintien des contacts via les relais locaux
Le commun prend-t-il en compte les besoins, voire associe-t-il, les publics vulnérables et si oui le(s)quel(s) (seniors, enfants, personnes à mobilité réduite, minorités de genre, population précaire, etc..) et de quelle façon ?
Le commun repose sur une communauté de publics vulnérables. A ce stade il est difficile d’estimer le profil des publics précisément (il dépendra des sources de financements obtenues et des relais locaux activités) Les publics en fragilités accompagnés actuellement par l’ADAL sont : - des personnes âgées, séniors ; - des personnes en situation de handicap (moteur et mental) - des personnes touchées par une maladie chronique (maladies cardio-vasculaires, insuffisance respiratoire, diabète, obésité, cancer…) - des personnes en situation de précarité (QPV…) Les publics en entreprise et dans les écoles, font partie des nouvelles cibles visées par l’ADAL au travers de son programme D-marche. Il y a des passerelles à imaginer afin que ces publics participent au commun.
Votre commun est-il susceptible de changer les comportements d’acteurs ou d’individus ?
Le commun D-cartes repose sur l’utilisation des outils D-marche ayant déjà fait l’objet de plusieurs évaluations depuis 2010 et notamment sur les « changement de comportement durables » Aujourd’hui, le programme D-marche : - Est reconnu par Santé Publique France comme intervention probante en prévention et promotion de la santé (https://d-marche.fr/validation-par-sante-publique-france/), - A fait l'objet, entre autres, d'une étude d'Utilité Sociale et d'une recherche biomédicale (https://d-marche.fr/etudes-et-validation-scientifique/), - Compte plus de 32 000 bénéficiaires / D-marcheurs, principalement des seniors et des patients.
Méthode d’évaluation de l’impact social (indicateurs, collecte, traitement des données) du commun :
Pour renforcer la légitimité et la portée du commun D-cartes nous souhaitons faire appel à un cabinet extérieur afin d’évaluer son impact social. Son rôle sera de coconstruire avec nous une méthode, incluant la définition des indicateurs pertinents, la collecte et l’analyse des données. Cette démarche nous permettra de mesurer l’impact réel de D-cartes en tant que levier d’inclusion sociale, de mobilité durable et de transformation territoriale. En valorisant la parole et les contributions des publics souvent invisibilisés, D-cartes leur offre reconnaissance, utilité sociale et pouvoir d’agir. Cette dynamique, soutenue par des données partagées permet aux acteurs publics d’ajuster leurs politiques d’aménagement à partir des réalités vécues. Le commun devient un outil stratégique au service de la résilience locale, de la sobriété et de l’écoute des besoins.
Décrire les externalités négatives possibles du commun et les pistes pour y remédier.
Afin d’accompagner les changements de comportement durable, le projet repose sur des outils numériques ainsi qu’un podomètre. Ces outils impact négativement le bilan carbone, néanmoins ils sont des facteurs de réussite du projet dans son ensemble.
S’il existe, ajoutez un lien vers l’espace de documentation ou la gare d’aiguillage de la communauté du commun :
Non réponduComment un nouveau membre de la communauté peut-il contribuer au projet ? Il y a-t-il un processus d’accueil ?
La porte d’entrée repose sur la mise en place d’un programme d’accompagnement D-cartes. Il s’appuie sur un partenaire territorial engagé, un Formateur certifié D-marche® spécifiquement formé à D-cartes et des usagers volontaires (≃15 personnes). Un programme s’articule en 6 ateliers collectifs sur une durée minimum de 3 mois pour créer les cartes et un événement rassembleur valorisant les livrables projet : Séance 1– Session initiale (SI) de formation/sensibilisation à la marche au quotidien + remise du Kit-D-marche ® (livret de formation, podomètre, accès personnel sur site Internet dédié) Séance 2 à 6 - temps d’accompagnement (TA) : Marche exploratoire ; Formation aux outils de cartographie ; Définitions de l’objectif des livrables ; Restitutions des observations de terrains ; Elaboration des livrables ; Validation des données par la communauté ; Elaboration d’un plan de communication. Séance 7 – évènement rassembleur : Présentation des livrables ; Perspectives et pérennité.
Décrivez la genèse de la communauté (sous quelle impulsion, depuis quand… ?)
Depuis 2010, l’ADAL déploie au niveau national le programme D-marche® https://www.d-marche.fr/ C'est un outil de prévention santé reconnu par Santé Publique France, une invitation à augmenter durablement sa quantité de pas quotidienne. (32 000 « D-marcheurs ») Depuis 2022, l'ambition se poursuit avec la création de la communauté D-cartes qui repose sur l'utilisation des outils D-marche® avec en complément la réalisation de cartes par les usagers d'un territoire. Plusieurs groupes locaux ont été mobilisés afin de réaliser des expérimentations de terrains (3 en Alsace, 1 dans l’Ain et 2 en Savoie).
Préciser le nombre de contributeurs actifs et le nombre d’utilisateurs :
≃ 32 000 personnes ont été formées aux outils D-marche. Pour D-cartes l’outil collaboratif YesWiki a été expérimenté depuis 2025 (sur les 40 contributeurs, 22 actifs). Pour les expérimentations avant 2025, les contributeurs étaient ≃ 50
Il y a-t-il des moyens mis en œuvre pour animer la communauté et si oui lesquels ?
Pour le moment l’animation de la communauté se fait au local via la mise en place des programmes D-Cartes et la construction de la maquette Yes-Wiki. Pour cette partie « animation communautaire », nous souhaitons nous associer à l’expertise de la FabMob.
La communauté est-elle en croissance, stabilisation ou décroissance ? Si volonté de croissance, quel est le plan de développement de la communauté ?
Non réponduIl y a-t-il des communs proches et/ou des coopérations avec les communautés de ces derniers ? Si oui, nommez-les et décrivez l’état des tentatives de connexion.
Non réponduQuelles sont les licences choisies pour protéger le commun dans ces différentes formes (logiciel, connaissance ou données) ?
Nous ne nous sommes pas posé cette question jusqu’à aujourd’hui…
Le commun a t-il une structure juridique propre ?
Non
Décrire la gouvernance du commun :
Le cadre « ressource, communauté, règles de gouvernance » nécessite d’être mis en place et animé dans la durée pour garantir les contributions effectives des parties prenantes. Voici les grandes étapes planifiées pour la structuration de la gouvernance : - Identification des rôles de chacun - Définition du processus de contribution - Mise en place des instances de décisions. - Concrétiser par un choix de licence pour les données voire une charte de contribution. Pour cette partie « gouvernance », nous souhaitons nous associer à l’expertise de la FabMob.
Comment se manifeste la transparence de l’organisation ?
Aujourd’hui, l’association ADAL est basée sur un modèle associatif, avec une gouvernance partagée entre : - les 6 membres bénévoles du Conseil d’Administration ; - les 6 salariés ; - le réseau de plus d’une centaine d’intervenants professionnels : équipe deuil, psychologues, coachs, enseignants APA, ergothérapeutes, socio-esthéticiennes, diététiciennes, artistes, Formateurs D-marche®… Toutefois l’ADAL n’as pas d’adhérents. Son but est d’accompagner les personnes vers des changements de comportement durables en autonomie ou d’orienter vers des initiatives locales existantes. Jusqu’à maintenant, les bénéficiaires de nos actions ne participent pas à la vie de l’association, notamment au regard de leur nombre, de leurs territoires de vie et de la diversité des actions menées. Nous entamons en juin 2025 un accompagnement par le DLA (Dispositif Local d’Accompagnement) pour requestionner notamment cette gouvernance et aller vers une meilleure transparence de l’organisation.
Quelle est la stratégie pour la viabilité économique du commun ?
Non réponduLe commun a-t-il une économie de service dérivée qui amène des financements ?
Non réponduAvez-vous pensé à un mode de répartition de la valeur auprès des contributeurs impliqués dans la vie du commun ?
Non réponduAu vu des réponses aux précédentes rubriques, résumez l’état d’avancement du commun sur les différents axes et précisez ses principaux enjeux et points de vigilance pour son bon développement.
Non réponduRéalisation du projet de commun
Non répondu
Commentaires
GUY COSTECHAREYRE
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